- Collecte don de sang : MERCI | 2 décembre 2025
- Immersion pour nos étudiants des masters MPI et MIC dans l'entrepreneuriat durable | 9 décembre 2025
- Sport avec l'AESES
- Un étudiant du Master Master Management de l'Innovation et de la Créativité a crée le buzz sur LinkedIn
- Save the date
- Actualités des enseignants-chercheurs
- Ce que vous ne savez pas sur nos enseignants...
Summary
Collecte don de sang : MERCI | 2 décembre 2025
La Faculté a organisé, après 6 ans d'absence, une collecte de Don du Sang dans ses locaux. Celle-ci s'est tenue le 2 décembre 2025, et au total ce sont 125 volontaires qui sont sont présentés pour le don, 100 poches ont pu êtres prélevées et 58 nouveaux donneurs ont franchi le cap !
Une très belle collecte, qui a contribué à sauver de nombreuses vies !
Prochain rdv fixé le 19 mars 2026, et comme nous aimons les challenges à la Faculté alors nous comptons bien obtenir de meilleurs scores encore ;) !
L'établissement Français du Sang ainsi que la Direction de la Faculté et l'équipe organisatrice de la collecte de sang remercient 100 fois les donneurs pour ces dons !
Un grand merci également aux équipes de l'AESES qui ont fortement participé à la réussite de cette collecte.


Immersion pour nos étudiants des masters MPI et MIC dans l'entrepreneuriat durable | 9 décembre 2025

Et si comprendre l'entrepreneuriat durable commençait par l’immersion sur le terrain ?
Pauline Brunner, enseignant-chercheur à la Faculté et au BETA, a embarqué les étudiants des Masters 1 Management de projets internationaux & Management de l’innovation et de la créativité, dans l’univers d’Atelier CirculR, une initiative engagée dans la conception de matériaux durables et circulaires.
Pour résumer, une expérience concrète qui a révélé comment l'innovation, la recherche et l'entrepreneuriat s’articulent au service de la transition écologique !
Merci à l’équipe de CirculR et à Marion Roullet pour l’accueil et bravo aux étudiants pour leur énergie et leur curiosité !
Sport avec l'AESES

Les équipes sportives de l'AESES ont participé, le 23 novembre 2025, au challenge du “record de l'heure” organisé par la FFSU (Fédération Française du Sport Universitaire), en faveur du Téléthon, au Stade de l'Ill. Ils ont terminé à la 8e place sur 11, à égalité avec les STAPS (Sciences du Sport de l'Université de Strasbourg), et devant l'EM (Ecole de Management de l'Université de Strasbourg).
Bravo à cette équipe sportive qui était composée de 10 étudiants de la Faculté à savoir : Emmanuelle - L3 parcours économie & magistère génie économique, Gaspard - L3 parcours économie, Lina - L3 parcours économie & magistère génie économique, Romane - L3 parcours gestion, Lucas - M1 management de l'innovation et de la créativité, Batiste - L3 parcours économie, Liam - L2, Adrien - M1 assurance et gestion des risques, un peu caché avec le bonnet, Maé dit " La Flèche " ( parce qu'il court très très vite ) - M2 statistiques et économétrie et pour fini en noir à droite, Julien - M1 assurance et gestion des risques.
Un étudiant du Master Master Management de l'Innovation et de la Créativité a crée le buzz sur LinkedIn
Thibaud Le Gal, étudiant en 2ème année de Master Management de l'Innovation et de la Créativité, a créé le buzz sur LinkedIn avec plus de 10 000 likes sur une publication. On vous explique…
Présentation :
Je m’appelle Thibaud Le Gal et je suis actuellement en 2ème année de Master Management de l'Innovation et de la Créativité (MIC). J'ai choisi ce master car il est un des rares à ne pas être axé sur l'innovation technologique (codage, développement de sites internet, etc.). Ce qui m'intéresse c’est l'innovation au sens large. Aujourd'hui, je suis très satisfait de mon choix et je remercie Mme Sabine CULLMAN, la responsable du Master MIC pour ça. Nous réalisons de nombreux projets. La première année est davantage théorique, même si nous avons déjà des projets concrets pour mettre en pratique les cours. Cette année de M2 est beaucoup plus intense. Nous avons plusieurs projets en cours avec de vraies entreprises et de réels enjeux. C'est un rythme proche de l'alternance, combinant cours et projets. C'est très enrichissant et cela nous aide concrètement à nous projeter dans le monde professionnel, tout en bénéficiant de l'accompagnement de nos professeurs.
La genèse de ce buzz et son objectif :
Tout d’abord pour mon stage de M1, j'avais tenté une 1ère approche originale : postuler chez l’Agence Citron, une agence de conseil en innovation, en leur envoyant une bouteille de Pulco. Mon CV était directement imprimé sur l'étiquette de la bouteille, loin des documents traditionnels. Ce n'était pas un simple coup de tête. Je suis profondément convaincu que dans des cursus créatifs et innovants comme le nôtre, il ne faut pas seulement affirmer ses compétences, il faut les démontrer concrètement. J'ai donc toujours privilégié les candidatures innovantes pour marquer les esprits. Et, honnêtement, cette approche a toujours été payante. L'épisode Decathlon en est l'illustration parfaite. Je découvre une offre de stage initialement destinée à des ingénieurs. Mais, en analysant la fiche de poste, je me dis : « Attendez, cela correspond parfaitement à notre Master ! » Je me lance. Le déclic ? Une phrase en bas de l'annonce : « envoyez-nous votre CV, plus tout autre document pouvant montrer à quel point vous êtes motivé ».
C'était l'invitation à l'originalité que j'attendais. J'ai voulu fusionner ma passion pour le sport avec l'ADN de Decathlon. J'avais vu des Français dessiner les anneaux olympiques avec leur tracé GPS à vélo sur les réseaux. J'ai repris l'idée, mais pour créer le logo Decathlon via un tracé GPS, de manière décontractée. J'ai planifié, couru le parcours, enregistré sur Strava, en plein Strasbourg. Cependant, malgré mon effort, j'ai reçu un refus. Le pire, c'était un refus standard, impersonnel, qui ignorait totalement mon tracé GPS créatif. C'était un peu frustrant, vous voyez. C'est là que j'ai décidé de ne pas laisser mon travail dans l'oubli. Le post LinkedIn qui a fait le buzz est né de cette frustration. Mon but n'était pas de critiquer Decathlon ou de mendier un revirement. J'avais deux objectifs principaux : montrer au monde professionnel de quoi je suis capable, ma créativité, et surtout, utiliser cette visibilité pour décrocher un stage. Trouver une opportunité, c'était l'objectif principal. Évidemment, si Decathlon avait vu le post et m'avait recontacté, cela aurait été un excellent bonus (et c’est peut-être le cas actuellement). Mais l'essentiel était d'obtenir un stage, peu importe l'entreprise sensible à mon audace. Le post LinkedIn était ma stratégie pour mettre ma démarche en lumière.
Feedback :
Cela m'a beaucoup appris sur l'aspect collaboratif : il est essentiel d'avoir l'avis des autres, mais aussi de se faire confiance et d'oser se lancer, de publier sur LinkedIn. Finalement, cela a fait beaucoup de bruit, et c'est une bonne chose.
J'ai également développé de la rigueur, car je me mettais inconsciemment la pression (et c'était bénéfique) pour répondre à tous les messages d'employeurs, aux commentaires, aux appels, ainsi qu'à la pression médiatique qui est arrivée dans un second temps.
D'ailleurs, pour un retour d'expérience, je savais qu'il fallait parfois se méfier des médias. J'ai donné une interview à certains médias, et je suis très satisfait du résultat final de l'article. Par contre, il y en a un autre qui a un peu déformé mes propos, j'ai donc réagi immédiatement. Ils ont laissé leur article, mais je n'ai rien à me reprocher puisque je leur ai envoyé un message tout de suite.
Au final, le bilan général est une super expérience, très enrichissante, bien prenante mentalement, mais c'était important. Cela m'a permis de nouer de nombreux contacts, même si j'ai dû refuser pas mal de propositions de stages, ne pouvant pas dire oui à tout le monde. Ces contacts sont précieux pour de futurs emplois ou d'autres opportunités.
Un message pour les autres étudiants
Pour se faire une place dans ce milieu, il y a deux options : soit l'on possède déjà des contacts, ce qui est une aide précieuse, soit il faut activement construire son propre réseau professionnel. Je crois que des démarches comme celle-ci sont essentielles pour cela. Certes, ce n'est pas facile. Il faut maintenir de bonnes relations avec tout le monde et ne jamais négliger personne, car cela peut rapidement se retourner contre soi. Mais je pense que c'est une manière de se démarquer qui est plutôt originale, notamment dans les masters axés sur la créativité et l'innovation, mais aussi dans les autres filières.
“Un conseil que je donnerais est d'utiliser vos passions et d'essayer de les intégrer dans vos candidatures de stage ou d'emploi. Cela peut donner lieu à des approches très créatives.”
Save the date
- Soirées Audit&Vous - 28 janvier 2026, 17h30 - amphi 3
La Faculté a le plaisir de reconduire une nouvelle édition de l'événement Audit&Vous organisé en collaboration avec la Compagnie Régionale des Commissaires aux Comptes d'Alsace.
Vous recherchez une opportunité dans un secteur offrant de belles perspectives de recrutement ? L’univers de l’audit légal s’ouvre à vous ! Venez découvrir le métier d’Auditeur Légal, Commissaires aux Comptes au cours de cette soirée et échangez avec les professionnels du secteur au cours d'un cocktail qui sera proposé sur inscription à l'issue de la conférence.
Actualités des enseignants-chercheurs
- Sina Badiei, enseignant-chercheur à la Faculté et au BETA, a obtenu le Best Book Award 2025 de l'AISPE (Association Italienne pour l'Histoire de la Pensée Économique) pour son ouvrage "Normative Economics in the History of Economic Thought : Marx, Mises, Friedman and Popper" publié chez Routledge en 2024. Le prix a été remis à l'occasion du colloque annuel de l'association qui s'est tenu à l'Université de Macerata début octobre 2025.
- Julien Pénin, enseignant-chercheur à la Faculté et au BETA, est intervenu dans l’émission “Entendez-vous l’éco ?” sur France Culture pour discuter des défis économiques des start-up de la santé. L’épisode, intitulé «Cœurs artificiels Carmat : les start-up de la santé n’attirent-elles plus les investisseurs ? », s’intéresse notamment à Carmat, entreprise française pionnière dans le développement de cœurs artificiels, placée en redressement judiciaire depuis l’été 2025 et dont l’avenir se jouait au tribunal des affaires économiques de Versailles au moment où était diffusée cette émission.
- Antoine Ebeling, post-doctorant MAKErS et enseignant à la Faculté, a reçu le 12 novembre 2025, lors d’une cérémonie officielle, le Prix Christophe Guillaume Koch 2025 délivré par le Chapitre de Saint-Thomas dans le cadre de sa politique de soutien à la recherche universitaire. Ce prix récompense des travaux universitaires de qualité en sciences juridiques, économiques et politiques. Antoine Ebeling a soutenu le 26 novembre 2024 sa thèse intitulée “Climate change and European intervention” réalisée sous la direction d’Amélie Barbier-Gauchard (Faculté et BETA, Strasbourg) et de Samuel Ligonnière (Université d’Evry Paris-Saclay). Celle-ci avait déjà été récompensée par le Prix de thèse 2025 de l’École Doctorale Augustin Cournot de l’Université de Strasbourg.
Ce que vous ne savez pas sur nos enseignants...

- La gestion : une matière incontournable, quel que soit le cursus !
Sarah Tapiero, co-responsable du master Gestion audit et intelligence des affaires | GAIA, a eu le plaisir d’interroger, le 3 novembre 2025, dans le cadre de son rôle d’expert, les étudiants de l’École du Louvre, futurs commissaires-priseurs. Un cadre exceptionnel, chargé d’histoire, qui incarne à lui seul la richesse du patrimoine français.
« Au-delà du lieu, j’ai été particulièrement impressionné par la qualité des candidats : curieux, passionnés, rigoureux… et, ce qui devient trop rare, respectueux et reconnaissants envers la profession d’enseignant. Une journée stimulante et inspirante, qui rappelle combien la gestion reste une clé de compréhension universelle — même dans les domaines de l’art et du patrimoine. »

Flamenco et Coquelicots
Sandrine Wolff, co-responsable du master Gestion industrielle et innovation | GII, et enseignant-chercheur à la Faculté et au BETA, nous a fait découvrir ses talents d’artiste-peintre pour un vernissage, organisé pour la soutenance de thèse de Nicolas Jalabert, à la Faculté. Rencontre avec l’artiste 😉
Depuis combien de temps peins-tu ?
Depuis toujours, j’ai débuté avec la peinture à l’eau et la gouache… Je me suis mise plus sérieusement à la peinture à l’huile en 2002 suite à la naissance de mes enfantsComment est venue cette passion ?
Enfant, pas d’explication supplémentaire… j’ai toujours aimé peindre et dessiner, au point de faire du dessin en option jusqu’en terminale, étant pourtant dans un parcours scientifique, ce qui était peu commun.Peux-tu nous en dire un peu plus sur la technique utilisée et tes sources d'inspiration ?
Comme indiqué au début de notre échange, je pratique la peinture à l'huile depuis 2002. Depuis, afin d’améliorer ma technique, je suis des ateliers de peinture à raison de 2h par semaine. L’inspiration me vient généralement d’après des photos personnelles prises par moi-même, sur le coup d’une émotion.Si tu devais nous résumer ce que représente cette passion dans ta vie et comment cela s’articule avec ton métier d’enseignant-chercheur et responsable de parcours…
La peinture c’est un véritable exutoire ! Un vidage de tête complet où l’on ne pense à rien d’autre qu’à la couleur, et en cas de douleur : mal de crâne ou fatigue… c’est une vraie thérapie, car quand je sors de mon atelier mes douleurs, ou tracas du quotidien ont disparu. La peinture me permet de m’évader…

Forêt du Rhin automne hiver, Lac gelé, Tobermory la nuit, Stockholm à minuit en juin, Feuilles d’automne & Sandrine Wolff

Alignement de Pavots blancs, Nymphéas, Vaches sur fond rouge, Brebis, Cochons noirs corses

Phare Citadelle

Bord de l’Ill

