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Lettre d'information

12
Octobre 2017

Édito

Ce mois d'octobre fut particulièrement riche à la faculté:

Un master labellisé, des étudiants stimulés, récompensés, des enseignants prolifiques...

Qui a dit que l'automne était déprimant?

Sommaire

Le Master Production, Logistique, Innovation labellisé par le Pôle Véhicule du futur.

Le Conseil d’administration du Pôle Véhicule du Futur a labellisé, lors de sa séance du 19 septembre 2017, le Master Production, Logistique et Innovation (PLI) comme formation d’Excellence. Cette labellisation positionne notre Master comme un partenaire clé du Pôle Véhicule du Futur qui souligne son adaptation en termes de contenus et de compétences visées aux nouvelles organisations et technologies de l’Industrie du futur.

En effet, le professionnel titulaire du Master Production, Logistique, Innovation réalise des missions de management de projet, de pilotage des flux physiques et d’informations, de gestion des ressources, d’animation d’équipes, de gestion de la production. Il met en œuvre des progiciels de gestion intégrés dans un contexte « d’entreprise étendue ». Il assure les activités de pilotage des processus de production dans le cadre de l'amélioration de la performance en termes de coût, qualité, délai. Il met également en œuvre des outils et démarches de l’excellence opérationnelle afin de satisfaire aux exigences des clients. Il propose des évolutions et innovations industrielles dans le cadre de l’amélioration continue.

Le Master PLI en alternance : Le Master 2 PLI en formation initiale a ouvert cette année en alternance sous statut de contrat de professionnalisation et c’est maintenant 10 étudiants qui suivent cette formation en alternance, sur une promotion de 25 étudiants, avec des missions en entreprises relatives au Lean management et des projets orientés industrie du futur. L’année universitaire prochaine, cette possibilité sera également proposée dès le Master 1 et toujours sous statut de contrat de professionnalisation. Le rythme pédagogique a été adapté afin de permettre à nos futurs étudiants de suivre les 2 années de Master en alternance.

Le Master 2 PLI en Formation continue : Le Master 2 PLI, évolution d’un Diplôme d’Université en Lean Management, sera proposé l’année universitaire prochaine aux salariés d’entreprise d’un niveau d’encadrement type : animateur, cadre intermédiaire, ingénieur, directeur... disposant de préférence d’une expérience professionnelle de deux ans minimum et d’un niveau BAC + 4 (Master 1) minimum. Les candidats non titulaires d’une première année de Master ou équivalent pourront être admis en justifiant d’une expérience professionnelle avec responsabilité en management de projet, en production et/ou en amélioration continue. La formation, adaptée à un rythme professionnel, se déroulera à raison de 2 jours tous les 15 jours pendant 9 mois. Les salariés formés seront ainsi de réels animateurs de la démarche d'amélioration continue dans leur environnement professionnel en préparant leur entreprise vers la transition du 4.0.

Projet 4.0 : Cross border cooperation Unistra - Université Pforzheim

Cette année, le Master Management des Projets et des Organisations, sous l'initiative de Ioana Deniaud, enseignante à la faculté, propose à ses étudiants de deuxième année des spécialités Production, Logistique et Innovation (PLI), Qualité, et Management International de l'Innovation (M2I) de participer à un projet en collaboration avec le master " Génie Industriel" de la faculté de Physique et ingénierie de l'Université de Strasbourg ainsi qu'avec le master "Engineering and Management" de l'Université de Pforzheim (Allemagne).

Pour ce projet interculturel et pluridisciplinaire, les étudiants vont devoir réaliser en équipes, un diagnostic de maturité concernant la transformation 4.0 dans les entreprises du Rhin supérieur.

Au cours de la première rencontre, qui a eu lieu le 16 octobre, les étudiants ont formé les groupes de travail et réalisé une séance de Team Building afin de créer de la cohésion d'équipe entre eux.

La journée s'est poursuivie par la visite du Conseil de l'Europe avec une intervention sur la digitalisation de l'entreprise du futur.

Hugo WEINMANN et David BRUCHLEN ​lauréats du prix Pépite grand Est

Comme chaque année, et à l’initiative du PeeL (Pôle entrepreneuriat étudiant de Lorraine) l’événement « PEPITE TREMPLIN GRAND EST 2017 » a eu lieu le lundi 9 octobre, à TCRM-BLIDA à Metz. Dix-sept projets d’étudiants entrepreneurs de Lorraine, Alsace et Champagne-Ardenne étaient à l’honneur.

C’est une première et c’est à l’initiative des 3 Pépites du Grand Est, avec le soutien de l’ETAT, de la CDC et de la Région.

Les lauréats ont ainsi présenté leurs projets devant une assemblée réunissant les représentants de l’Etat, de la Région Grand Est, de la Caisse des Dépôts, et des Pépites du Grand Est.

Chaque lauréat a eu une minute chrono, sous forme de mini pitch, pour la présentation de son projet.

Parmi eux, Hugo Weinmann et David Bruchlen, étudiants de la faculté ont été récompensés pour leurs projets innovants:

Toastate pour Hugo : 

"Les développeurs Web se heurtent à plusieurs problématiques lors du développement de leur site/application (gestion des serveurs, bases de données, difficulté d’adapter à la demande, risque de panne, coût fixe élevé…). Toastate se place sur le créneau des Functions as a Service (FaaS) qui résout ces problématiques en leurs permettant de ne plus se soucier de l’infrastructure informatique.
Nous nous appuyons sur notre propre technologie de FaaS dédiée aux développeurs pour construire une marketplace permettant aux novices de s’abstraire du code."

Et Science me up pour David :

"Science me Up est un prestataire de choix pour vous mettre en relation avec les meilleurs experts scientifiques ! Que vous ayez besoin d’une mission spécifique, d’un recrutement, d’organiser un événement ou de former vos équipes/collaborateurs/étudiants pensez à
Science me Up !"

sources grandest.info

France-Allemagne : quel modèle économique?

Bertrand Koebel, professeur d'économie à la faculté et chercheur au BETA était invité pour l'émission On va plus loin de Public Sénat, pour un grand débat autour des modèles économiques français et allemand.

L'Allemagne serait sans doute la grande gagnante de la mondialisation, particulièrement pour les entreprises qui exportent. Malheureusement, une grande partie de la population n'en profiterait pas et verrait même ses emplois menacés. 

Visionner l'émission du 4 octobre 2017

Une approche économique de la frontière : le cas du Rhin supérieur

La frontière est-elle un handicap ou une chance? Dans cette note, Jean-Alain Héraud, professeur émérite de la faculté, commence par analyser l'éclairage que la théorie économique peut apporter sur cette question. Il apparait que l'économie régionale et la théorie de l'innovation permettent de prendre en compte la dimension potentiellement créative de la localisation transfrontalière. Au niveau des acteurs microéconomiques, une certaine 'agilité' est cependant requise. L'Alsace peut être un champ d'application privilégié pour une telle stratégie. Encore faut-il le vouloir.

Texte à lire sur le site de l'Association de Prospection Rhénane

Bitcoin, monnaie d’avenir ?

Une monnaie complètement virtuelle, générée automatiquement par la puissance du calcul informatique, le bitcoin cherche à s’imposer comme un système monétaire parallèle, échappant à toute régulation. Entre utopie et réalité, décryptage avec deux enseignants à la faculté et chercheurs au BETA , Moïse Sidiropoulos et Meixing Dai.

Le bitcoin est apparu en 2009, quelque temps après la crise mondiale des subprimes. Coïncidence ? Ce n’est pas l’avis de Moïse Sidiropoulos. « Ses créateurs poursuivent un objectif : l’émergence d’une monnaie qui échappe au contrôle des Etats et ainsi l’assurance que les citoyens se réapproprient leur devise », explique-t-il. Adossé à un système cryptographique complexe, le bitcoin permet à tout un chacun d’effectuer de manière sûre des transactions entre pairs, sans passer par un tiers. Ainsi l’argent ne peut être ni tracé, ni taxé par un pouvoir central. Et l’avantage pour les utilisateurs est tout à fait tangible. « Pour une transaction classique en bitcoin, le montant des frais s’élève à 0,0001 BTC soit 5 centimes d’euros. Là où des services bancaires classiques (Mastercard, Visa, Paypal ou Western Union etc.) prélèvent des commissions allant de 1,5% à 7,5% du montant total de la transaction selon les pays, » renchérit le chercheur.

lire la suite de l'article original sur #Savoir(s)

Retour sur la conférence PCA/PRA du 25 septembre

Le lundi 25 septembre dernier, le master Assurance et Gestion des Risques, en partenariat avec Alearisque a organisé une table ronde sur la thématique des plans de continuité d'activité et plans de reprise d'activité (PCA/PRA). 

Une cinquantaine d'entreprise était représentée et les collaborateurs ont pu rencontrer nos étudiants lors du cocktail qui a suivi.

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